Nous fêtons le 10ème anniversaire de travail de Sandy

Nous fêtons le 10ème anniversaire de travail de Sandy

Félicitations à notre Coopler Sandy pour son 10ème anniversaire de travail chez Coople. Nous ne pourrions pas être plus fiers de fêter le 10ème anniversaire de travail de nos Cooplers! Pour cette occasion, nous avons parlé avec Sandy de ses moments les plus importants chez Coople et de la façon dont elle a pu évoluer grâce à Coople.


Nous vous présentons: Sandy

Depuis son inscription chez Coople en 2011 (Ă  l’Ă©poque Staff Finder), Sandy a travaillĂ© dans de nombreux secteurs et diffĂ©rents mĂ©tiers. Elle a par exemple travaillĂ© dans la vente, la promotion, la logistique et la restauration. Grâce Ă  ces expĂ©riences variĂ©es, Sandy a appris Ă  ĂŞtre ouverte Ă  de nouvelles expĂ©riences et Ă  relever rĂ©gulièrement de nouveaux dĂ©fis. Sandra est aujourd’hui est favorite de 27 entreprises et travaille encore rĂ©gulièrement avec Coople.

Pourquoi vous ĂŞtes-vous inscrite chez Coople?

«Avant de m’inscrire chez Coople, j’ai effectuĂ© diffĂ©rentes missions dans la promotion. Lorsque je me suis rendue au salon de la restauration, j’ai pris contact avec Staff Finder, je m’y suis inscrite et j’ai tout de suite testĂ©. De tels services en ligne Ă©taient nouveaux Ă  l’Ă©poque et cela m’a beaucoup plu.»


Quelle était votre première mission chez Coople?

«HonnĂŞtement, je ne suis plus sĂ»re, mais je pense que c’Ă©tait une mission pour une promotion de parfum.»

«On rencontre beaucoup de gens différents et on a la possibilité de faire plein de jobs intéressants.» 

Quelles nouvelles expériences professionnelles et connaissances avez-vous acquises grâce à Coople?

«On rencontre beaucoup de gens diffĂ©rents et on a la possibilitĂ© de faire plein de jobs intĂ©ressants. En outre, j’ai appris Ă  devenir plus ouverte Ă  de nouvelles situations et Ă  relever de nouveaux dĂ©fis.»

Quels sont actuellement vos objectifs personnels ou professionnels?

«Je souhaite avoir le niveau d’expĂ©rience «avec formation» pour les profils d’emploi du secteur de la restauration, afin de travailler pour des Ă©vĂ©nements intĂ©ressants.»

Quel conseil donneriez-vous aux nouveaux Cooplers qui viennent de s’inscrire?

«Ne pas abandonner, même si on reçoit plusieurs réponses négatives au début. Il faut toujours postuler et ne pas lâcher prise. Ajouter un bon CV à son profil est également très important.»

Quel est votre souvenir préféré lors des dix dernières années passées avec Coople?

«Sans aucun doute la mission Ă  l’hĂ´tel BĂĽrgenstock, oĂą j’Ă©tais dĂ©guisĂ©e en Ĺ“uf de Pâques et oĂą j’ai distribuĂ© des chocolats Lindt. Ensuite, j’ai mĂŞme pu prendre autant de chocolat que je voulais dans la boutique de Lindt – c’Ă©tait une expĂ©rience gĂ©niale. Ou lorsque j’ai pu distribuer des bonbons lors du Slowup, oĂą il faisait un temps magnifique.»

Coopler Sandra B. lors d'une mission
Nous fêtons le 10ème anniversaire de travail de Bettina

Nous fêtons le 10ème anniversaire de travail de Bettina

Nous ne pourrions pas ĂŞtre plus fiers de fĂŞter le 10ème anniversaire de travail de nos Cooplers! Nous avons parlĂ© avec eux afin d’en savoir plus sur leurs expĂ©riences avec le travail flexible via Coople et pour vous donner leurs conseils.

Nous vous présentons: Bettina

Bettina s’est inscrite comme employĂ©e flexible en 2011, lorsque Coople s’appelait encore Staff Finder. Au dĂ©but, elle acceptait surtout des missions dans la promotion. Depuis, Bettina a testĂ© de nombreux mĂ©tiers et secteurs diffĂ©rents: elle a par exemple vendu des vĂŞtements dans le commerce de dĂ©tail, travaillĂ© dans des restaurants et des bars et a mĂŞme dĂ©jĂ  fait une mission dans la garde d’enfants. Aujourd’hui, Bettina est favorite de 13 entreprises et effectue rĂ©gulièrement des missions via Coople.

Coopler Bettina lors d'une mission dans la promotion

« Je voulais avoir plus de liberté pour décider moi-même du type de travail que je voulais faire. « 

Pourquoi vous ĂŞtes-vous inscrite chez Coople?

«A l’Ă©poque, Coople s’appelait encore Staff Finder. Je voulais avoir plus de libertĂ© pour dĂ©cider moi-mĂŞme du type de travail que je voulais faire. C’est ce que j’ai trouvĂ© chez Coople. J’ai eu de nombreuses possibilitĂ©s de dĂ©couvrir diffĂ©rents mĂ©tiers que je n’avais pas appris et pour lesquels je n’avais aucune expĂ©rience professionnelle. Cela m’a beaucoup intĂ©ressĂ© et m’a permis de progresser dans ma vie professionnelle. La première fois que j’ai entendu parler de Coople, c’Ă©tait probablement par Patchwork Promotion. Ils travaillaient dĂ©jĂ  Ă  l’Ă©poque avec Staff Finder et la responsable, qui est une de mes collègues, connaĂ®t personnellement Viktor.»

Quelles nouvelles expériences professionnelles et connaissances avez-vous acquises grâce à Coople?

«J’ai pu faire l’expĂ©rience de travailler avec des enfants. Cela m’a tellement intĂ©ressĂ©e que j’ai continuĂ© Ă  me former dans ce domaine. Un peu plus tard, j’ai dĂ©crochĂ©, en dehors de Coople, un emploi de gardienne chez des personnes cĂ©lèbres. J’Ă©tais employĂ©e trois jours par semaine par cette famille Ă  chaque fois que les parents devaient partir Ă  l’Ă©tranger. Mes rĂ©fĂ©rences des emplois Coople m’ont aidĂ© Ă  obtenir ce poste, car en plus de ma formation continue, j’avais dĂ©jĂ  de l’expĂ©rience professionnelle.»


Quels sont actuellement vos objectifs personnels ou professionnels?

«Actuellement, je vis en partie en Suisse et en partie en Tunisie et les emplois Coople m’aident Ă  financer mes nombreux voyages. Lorsque je suis en Tunisie, je planifie toujours Ă  l’avance Ă  quel moment je souhaite travailler lorsque je serai de retour en Suisse. Cela se fait sans problème avec l’application Coople Jobs. Je peux postuler de partout et ainsi planifier mon sĂ©jour de manière idĂ©ale. Mon objectif professionnel et personnel est avant tout d’apprendre l’anglais afin de pouvoir mieux communiquer en Tunisie et dans la vie professionnelle, cela me sera certainement utile.»


Quel conseil donneriez-vous aux nouveaux Cooplers qui viennent de s’inscrire?

«C’est drĂ´le, parce que j’ai eu une mission l’autre jour, oĂą nous avons vĂ©rifiĂ© des certificats Covid, et il y avait environ 4 ou 5 Ă©tudiants qui venaient de s’inscrire et qui ne savaient pas exactement comment Coople fonctionnait. Pendant la pause, j’ai pris le temps de leur donner les conseils suivants: ajoutez immĂ©diatement 10 profils d’emploi et tĂ©lĂ©chargez votre CV. Vous devez Ă©galement vous connecter rĂ©gulièrement Ă  l’application Coople Jobs et refuser les emplois qui ne vous conviennent pas. Ils pensaient que s’ils refusaient des emplois, ils ne recevraient plus de demandes. En gĂ©nĂ©ral, je dirais que les jeunes gĂ©nĂ©rations ont tendance Ă  abandonner trop vite et devraient essayer plus longtemps.»


Quel est votre message pour les entreprises ?

«Ce serait bien que les responsables sur place soient toujours informĂ©s de l’arrivĂ©e des Cooplers. Parfois, je suis au lieu de rencontre et personne ne sait que je viens travailler. Cela ne donne pas une bonne impression. Ce n’est que parce que j’ai dĂ©jĂ  beaucoup d’expĂ©rience que je sais ce que je dois faire dans de telles situations et comment je peux me renseigner pour finalement arriver lĂ  oĂą je dois travailler. Mais cela peut ĂŞtre très dĂ©stabilisant pour de nouveaux Cooplers.

Je trouve aussi le code QR pour le check-in et le check-out très cool, mais malheureusement il y a beaucoup d’entreprises qui ne l’utilisent pas encore ou pas correctement.

Mais il est toujours agrĂ©able de ressentir une grande reconnaissance, car les entreprises n’ont eux-mĂŞmes pas le temps de s’occuper des tâches des Cooplers. Les employĂ©s et les responsables sur place sont très reconnaissants, cela donne un bon sentiment. J’apprĂ©cie aussi le fait que je puisse la plupart du temps dĂ©cider de la manière dont je fais mon travail.»


Quel est votre souvenir préféré lors des dix dernières années passées avec Coople?

«Il y en a plusieurs. Mais la mission la plus impressionnante a probablement Ă©tĂ© de pouvoir travailler au bar de l’Open Air de Gampel. C’Ă©tait incroyable la quantitĂ© de bière que nous avons servi. L’ambiance, la musique et les visiteurs Ă©taient tout simplement gĂ©niaux et c’Ă©tait extrĂŞmement cool de pouvoir faire partie d’un tel Ă©vĂ©nement. Il y avait environ 10 000 Ă  12 000 personnes sur place! A part ça, j’aime toujours beaucoup les missions dans la promotion.»

Lutte contre la pénurie de personnel dans le secteur de la restauration grâce à une formation continue en restauration

Lutte contre la pénurie de personnel dans le secteur de la restauration grâce à une formation continue en restauration

Le secteur de la restauration recherche dĂ©sespĂ©rĂ©ment du personnel, surtout depuis la fin de la crise sanitaire. Un grand nombre du personnel s’est rĂ©orientĂ© et a trouvĂ© entre-temps un emploi dans d’autres branches. Pour remĂ©dier Ă  ce problème, Coople a mis en place, en collaboration avec GastroSuisse, une formation pour les personnes qui souhaitent changer de mĂ©tier. L’objectif est d’aider les restaurateurs Ă  trouver davantage de professionnel·les pour faire face Ă  la pĂ©nurie de personnel qualifiĂ©.

«Recherche urgente de serveurs/serveuses». On rencontre ce type d’annonce dans toute la Suisse. GastroSuisse estime que, pendant la pandĂ©mie, environ 30 000 serveurs et serveuses ont quittĂ© leur emploi et ne sont pas retournĂ©s Ă  leur poste. Les entreprises sont dĂ©semparĂ©es. Dans la perspective des fĂŞtes de fin d’annĂ©e et en l’absence de personnel suffisant, les restaurateurs n’ont d’autre choix que de travailler plus, d’adapter leurs horaires d’ouverture ou de proposer moins de tables et des cartes plus restreintes.Ils perdent ainsi l’activitĂ© dont ils pourraient grandement bĂ©nĂ©ficier après deux ans de pandĂ©mie.

Coople et GastroSuisse s’unissent

Coople tente de remédier à cette situation en attirant des employé·e·s flexibles vers le travail dans la restauration. En collaboration avec GastroSuisse, une formation de base de deux jours sur le thème du «service» a été mise en place. Lors de cette formation continue en restauration, les personnes intéressées peuvent acquérir de nouvelles connaissances et mettre à jour leurs connaissances. «Nous voulons encourager nos employé·e·s à faire un premier pas, découvrir la restauration et acquérir des connaissances de base. Il est clair que tout ne peut pas être appris en deux jours, mais des connaissances de base et donc un bon niveau de qualité sont garantis» explique David Bernet, chef de projet formation continue chez Coople.

Ces formations en restauration sont une petite contribution dans la lutte contre la pĂ©nurie de personnel qualifiĂ© et au dĂ©veloppement professionnel des Cooplers intĂ©ressĂ©s, une main-d’Ĺ“uvre flexible qui travaille via la plateforme numĂ©rique Coople. Les participants de cette formation professionnelle sont des personnes qui n’ont pas encore travaillĂ© dans la restauration ou qui souhaitent mettre Ă  jour et consolider leurs connaissances.

Les participants du cours reçoivent une introduction aux thèmes suivants : «Service et personnalitĂ© de l’hĂ´te», «PrĂ©paration et art de table», «Prise en charge des clients de A Ă  Z», «Service de banquet», «Règles de service» et «Prise de commande». Après avoir complĂ©tĂ© la formation avec succès, chaque participant·e reçoit un certificat officiel de GastroSuisse.

Des participant·e·s aux motivations diverses pour une formation continue en restauration

La première formation de base, qui s’est dĂ©roulĂ©e du 26 au 27 septembre 2022 Ă  l’Ă©cole hĂ´telière de Zurich, a attirĂ© des personnes aux motivations diverses et variĂ©es.

Par exemple, Estefanus H., 40 ans, travaille déjà à temps partiel dans un restaurant à Zurich et a déjà effectué 60 missions via Coople. Mais il souhaite apprendre quelque chose de nouveau, élargir ses connaissances et avoir entre les mains un certificat officiel et concret.

Il espère obtenir encore plus de missions grâce à ce dispositif car «en Suisse, les certificats et les diplômes sont très importants et aident à avoir de meilleures chances professionnelles».

Image de Estefanus H.
Jolanda D., 58 ans, et Denise E., 34 ans, ont toutes les deux plusieurs annĂ©es d’expĂ©rience dans la restauration. Elles connaissent le secteur depuis leur plus jeune âge, mais se rĂ©jouissent de pouvoir approfondir, encore une fois lors de cette formation, les bases qu’elles ont apprises intuitivement et de combler leurs lacunes. En suivant cette formation, elles ont une preuve de leur expĂ©rience et peuvent ainsi amĂ©liorer considĂ©rablement leurs chances professionnelles.
«Je me suis intĂ©ressĂ©e au service du vin, par exemple de quel cĂ´tĂ© il faut le servir. C’est toujours bien de se sentir plus Ă  l’aise lors d’un banquet et de savoir ce qui est important», explique Denise E.

Bild von Denise E.
Jolanda D., en revanche, estime : «Comme je l’ai dit, j’ai dĂ©jĂ  travaillĂ© de nombreuses annĂ©es dans la restauration. Mais il me manque certaines bases dans le service Ă  la carte et le service de banquet. Jusqu’Ă  prĂ©sent, j’ai simplement effectuĂ© les tâches comme on me l’a montrĂ©.»

Bild von Denise E.
Beata N., 61 ans, voulait le «savoir une bonne fois pour toutes». GrâceĂ  la formation, elle a l’occasion de poser des questions importantes : «Est-ce que cela fonctionne vraiment comme on me l’a dit un jour ou est-ce qu’on l’enseigne officiellement de façon diffĂ©rente? Je pense qu’il est encore important d’avoir dĂ©jĂ  une certaine expĂ©rience».

Bild von Beata N.

L’ensemble des participant·e·s Ă  la formation en restauration interrogé·e·s ont un point commun: ils/elles ne connaissaient pas les offres de formation continue dans la branche avant ce cours et aucun d’entre eux ne l’aurait suivi s’il n’avait pas Ă©tĂ© subventionnĂ©.

Une rĂ©ponse de Beata N. montre que les formations continues de ce type ne sont pas seulement utiles pour rĂ©intĂ©grer les seniors sur le marchĂ© du travail et lutter activement contre la pĂ©nurie de main-d’Ĺ“uvre qualifiĂ©e, mais aussi pour renforcer l’estime de soi: «Je vais devoir continuer Ă  travailler mĂŞme après la retraite. […] En fait, je suis dĂ©jĂ  totalement radiĂ©e du marchĂ© du travail Ă  plus de 60 ans. C’est pourquoi je suis toujours contente quand je peux intervenir quelque part. Mais cela ne sert Ă©videmment pas Ă  grand-chose pour les entreprises si une personne comme moi, qui n’a aucune formation, se prĂ©sente ». Pourquoi suit-elle cette formation? « J’ai vu l’offre chez Coople et je me suis dit que c’Ă©tait exactement ce dont j’avais besoin. […] Je suis très reconnaissante de cette opportunité».

Pour l’instant, 4 formations continue en restauration sont disponibles entre septembre et novembre pouvant accueillir 100 personnes. En fonction de l’intĂ©rĂŞt et du succès de ce dispositif, d’autres formations continues en restauration seront proposĂ©es.

L’intĂ©rĂŞt pour les offres de formation continue a Ă©galement Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© par un sondage rĂ©alisĂ© par Coople en juin 2022, auprès de plus de 4000 employé·e·s. Il en ressort que la grande majoritĂ© des personnes interrogĂ©es s’intĂ©ressent Ă  la formation continue. Voici les informations dĂ©taillĂ©es sur les rĂ©sultats de l’enquĂŞte.

Les employés temporaires sont intéressés par des formations continues

Les employés temporaires sont intéressés par des formations continues

Une formation continue dans le cadre professionnel est un aspect essentiel pour amĂ©liorer ses perspectives professionnelles, acquĂ©rir de nouvelles qualifications et Ă©voluer dans un environnement professionnel. Les possibilitĂ©s de formation continue offrent non seulement des possibilitĂ©s attrayantes pour les employĂ©s, mais s’avèrent Ă©galement ĂŞtre un outil utile pour les employeurs afin de garantir la stabilitĂ© de l’entreprise et l’attractivitĂ© de l’emploi.

En juin 2022, une enquĂŞte interne menĂ©e auprès de plus de 4000 employĂ©s de la plateforme digitale Coople, ayant travaillĂ© au moins une fois depuis le 1er janvier 2022, a permis de dĂ©terminer l’intĂ©rĂŞt gĂ©nĂ©ral pour une formation continue ainsi que d’autres informations spĂ©cifiques du secteur. L’âge moyen des participants de l’enquĂŞte est de 36 ans, dont 59% sont des femmes et 41% des hommes. L’enquĂŞte a Ă©tĂ© menĂ©e en trois langues (allemand, français et anglais) et les rĂ©sultats montrent clairement les besoins, les tendances et les actions nĂ©cessaires.

Une grande majoritĂ© des personnes interrogĂ©es s’intĂ©resse aux formations continues

Parmi les 4000 utilisateurs de la plateforme Coople interrogĂ©s, 94,3 % se sont montrĂ©s intĂ©ressĂ©s par une formation continue. Les quelques pour cent qui n’ont pas manifestĂ© d’intĂ©rĂŞt pour une formation continue ont le plus souvent mentionnĂ© une formation continue dĂ©jĂ  suivie (26,8 %) ainsi que le manque de temps (22,8 %) et de possibilitĂ©s financières (21,4 %) comme raison.

Image qui illustre l'intérêt pour une formation continue

Les différentes motivations pour une formation professionnelle continue

En ce qui concerne la motivation individuelle pour une formation professionnelle continue, on peut notamment mettre en avant un salaire plus Ă©levĂ© (16,9%), un Ă©ventuel Ă©largissement des perspectives professionnelles (16,2%) et une compĂ©tence professionnelle plus approfondie (16,2%). D’autres aspects stratĂ©giques et privĂ©s ont Ă©galement Ă©tĂ© mentionnĂ©s: de meilleures chances d’obtenir une promotion ou un emploi fixe, l’aspect du lifelong learning et l’Ă©largissement du rĂ©seau personnel.

Image qui illustre les raisons pour une formation continue

Les formations commerciales et linguistiques sont les plus demandées parmi les Cooplers

Le choix de formations professionnelles continues, qu’elles soient interprofessionnelles ou intraprofessionnelles, est un secteur oĂą l’offre est souvent surprenante. Parmi les personnes interrogĂ©es, des tendances se sont nĂ©anmoins rapidement manifestĂ©es. Ainsi, un quart des personnes interrogĂ©es ont exprimĂ© le souhait de suivre des formations continues dans le domaine commercial, suivies de près par les formations linguistiques avec un peu plus de 20%. Les secteurs de la santĂ© ainsi que de la logistique ont Ă©galement Ă©tĂ© mentionnĂ©s Ă  de nombreuses reprises. Un focus particulier de l’enquĂŞte sur l’hĂ´tellerie et la restauration a permis d’obtenir des informations intĂ©ressantes spĂ©cifiques sur ce secteur. Ainsi, les employĂ©s de cette branche souhaitent en particulier des formations continues dans le domaine de la « vente et de l’accompagnement des clients », des « connaissances en matière de vin », des « exercices pratiques » (p. ex. porter 3 assiettes, servir des boissons, etc.), des « tâches de prĂ©paration » ainsi que des « connaissances de base dans le service ».

Domaines intéressants pour une formation continue

La durĂ©e de la formation continue est un aspect central – le timing l’est moins

En ce qui concerne la durĂ©e de la formation continue, il existe des prĂ©fĂ©rences claires qui ne pourraient pas ĂŞtre plus diffĂ©rentes. Près d’un quart des personnes interrogĂ©es souhaitent une formation continue approfondie d’une durĂ©e supĂ©rieure Ă  trois mois, afin de pouvoir Ă©tudier pleinement un sujet. En revanche, 28,1 % souhaitent une formation continue d’une durĂ©e de quelques heures Ă  un jour maximum. Les employĂ©s souhaitent soit une approche intensive dans certains thèmes, soit un Ă©largissement rapide de leurs propres capacitĂ©s afin de pouvoir mettre en pratique le plus rapidement possible ce qu’ils ont appris. L’heure et le jour de la semaine de la formation continue sont ici d’une importance plutĂ´t secondaire – notamment parce que les personnes interrogĂ©es argumentent en se basant sur un emploi flexible et que le temps nĂ©cessaire peut ĂŞtre rĂ©parti selon leur emploi du temps.

« Nos Cooplers sont soumis Ă  la convention collective de travail (CCT) pour le travail temporaire et peuvent ainsi bĂ©nĂ©ficier d’un budget de formation continue de “temptraining”. Ce que beaucoup ne savent pas, c’est que en tant que travailleur temporaire, il est possible de recevoir jusqu’Ă  CHF 5’000 de budget après avoir effectuĂ© un minimum de 88 heures. Cet avantage permet aux employĂ©s temporaires d’Ă©largir en permanence leurs compĂ©tences et connaissances professionnelles et d’Ă©voluer dans leur carrière », explique Sabina Neuhaus, Responsable de la Communication du Groupe.

Voici plus d’informations sur temptraining.

Coople reçoit à nouveau le label de qualité de swissstaffing

Coople reçoit à nouveau le label de qualité de swissstaffing

L’association des services de l’emploi swissstaffing a renouvelĂ© pour la 4ème fois la certification de Coople avec le label de qualitĂ©. Le label swissstaffing est le garant d’un travail de qualitĂ© sur le plan Ă©thique et du respect de standards professionnels de haut niveau dans la branche. Il fait l’objet d’une rĂ©Ă©valuation tous les trois ans. L’audit est rĂ©alisĂ© par l’Association Suisse pour Systèmes de QualitĂ© et de Management (SQS).


La rĂ©ussite de l’audit de recertification est la condition pour rester membre de swissstafffing et est reconnue au niveau national par le certificat SQS. Les sujets suivants ont Ă©tĂ© examinĂ©s:

  • Documents, rĂ©glementations et protection des donnĂ©es
  • Location de services – travail temporaire
  • SĂ©curitĂ© au travail, absences
  • Direction

  • Coople, en tant qu’agence de recrutement digitale et transparente, poursuit depuis 2009 l’objectif d’offrir une plateforme qui permet de mener une vie meilleure: pour les personnes qui ont rĂ©alisĂ© que le monde du travail s’est transformĂ© en un monde orientĂ© vers la vie privĂ©e. Pour les entreprises qui ont besoin d’employĂ©s flexibles aux heures de forte affluence, et pour les grandes entreprises dont la stratĂ©gie d’entreprise inclut depuis longtemps l’intĂ©gration d’une main-d’Ĺ“uvre flexible.

    Yves Schneuwly: « Le fait de rĂ©ussir une nouvelle fois l’audit de recertification nous montre surtout une chose: mĂŞme après 13 ans, nos efforts de travailler conformĂ©ment aux normes de qualitĂ© les plus Ă©levĂ©es n’ont pas faibli – malgrĂ© ou justement Ă  cause de la croissance rapide de ces dernières annĂ©es. Nos partenaires, la branche, nos employĂ©s et surtout nos Cooplers en profitent ».

    Vous trouverez ici plus d’informations sur le label de qualité et les normes de qualité peuvent être téléchargées en cliquant sur le lien suivant.